course de haies:les techniques fondamentaux

Les effets indésirables du vélo

ELEMENTS CONSTITUTIFS DE COURSE DE VITESSE

course de haies:les techniques fondamentaux

Le sprint /haies : la vitesse maîtrisée


Les points techniques fondamentaux ................................... .1
 Les gammes 
 Les appuis
 Le cycle de jambes ...................... ..2
 Cyclepostérieur
 Cycle antérieur
 Amélioration du cycle de jambes ........  3
 Les alignements
Les différents types de départs ............ . 4
 Le départ pieds joints
 Le départ trépied
 Le départ en starting-blocks
Les différentes phases du sprint……... 5
 L'accélération
 Lamiseenaction
 Le maintien de la vitesse
Les caractéristiques particulières des haies …….6
 La foulée
 La technique de franchissement
 Les différentes phases……………………...7 
 Lamiseenaction
 L'accélération
 Lerush
 Le rôle des bras


ELEMENTS CONSTITUTIFS DE COURSE DE VITESSE

LA COURSE DE VITESSE

Apprendre aux enfants à courir peut paraître ridicule tant cet acte semble inné. 
L’enfant qui arrive à l’école sait marcher, courir, sauter… il se montre autonome. 
Cependant, ses mouvements manquent de précision. C’est pourquoi l’enseignement de 
la course est une activité traditionnelle de l’éducation physique et sportive à l’école 
primaire. 
L’enseignant doit donc l’aider à développer ses capacités grâce à des situations 
pédagogiques. Il doit ainsi l’aider à s’améliorer et lui permettre d’évaluer ses progrès. 
Pendant notre stage, nous avons pu constater, lors de jeux pratiqués par les 
enfants (le maire, des courses défis...), que ces derniers couraient de manière inadaptée. 
La question qui se pose alors consiste à se demander comment l’enseignant peut- 
aider l’enfant à améliorer sa course ?
Nous commencerons notre analyse par une définition de la course de vitesse. 
Puis nous verrons successivement les éléments constitutifs de cette activité, son rapport 
avec l’enfant et son enseignement à l’école primaire. 
Nous présenterons la population concernée et exposerons ensuite notre unité 
d’apprentissage, ses évaluations ainsi que les outils de ces évaluations et ses conditions 
expérimentales. 
Enfin, nous analyserons notre enseignement et ses limites. 

Les effets indésirables du vélo


Si vous envisagez de remplacer votre voiture par un vélo, alors il est important de connaître l’impact de cette décision. Vous trouverez ci-dessous 10 effets secondaires du vélo que votre vendeur de vélos ne vous dira pas.
1. La perte de poids. Si vous essayez d’être gros, le vélo n’est pas bon pour vous.Le vélo est connu pour éliminer les calories provenant des réserves de graisse du corps.
2. Le ralentissement de la respiration. Les gens qui utilisent régulièrement le vélo ont besoin de plus de temps entre chaque respiration, que ce soit quand ils font du vélo ou quand ils sont en période de repos.
3. La réduction du stress et de l’agressivité. Les gens qui vont au travail à vélo sont moins susceptibles d’être agressifs, ce qui peut poser problème pour la survie dans le monde d’aujourd’hui.
4. Ponctualité. La possibilité de naviguer dans le trafic urbain, en prenant des raccourcis dans des endroits où les voitures ne peuvent pas passer, tout en évitant les embouteillages de l’heure de pointe, laisse souvent les cyclistes dans l’ennui lorsqu’ils doivent attendre l’arrivée de leurs collègues.
5. La stimulation mentale sans caféine. Ceux qui utilisent régulièrement le vélo ont la sensation naturelle d’être alerte et bien éveillé, et ne peuvent donc pas justifier la pause café en début de matinée.
6. Sentiment d’invincibilité. Les personnes qui sont leur propre moyen de transport ont souvent la dangereuse impression qu’elles peuvent réaliser quoi que ce soit.
7. La pratique du vélo peut conduire à d’autres activités. Rouler à vélo encourage la curiosité, l’exploration, et peut même provoquer une dépendance à la volonté de découvrir le monde.
8. Une joie extrême. Les cyclistes réguliers ont du mal à comprendre la colère des automobilistes, et se tiennent donc à l’écart du passe-temps populaire qui consiste à maugréer sur la circulation. Des sourires trop fréquents peuvent provoquer des rides d’expression sur le visage.
9. Perte de sensation. La pratique régulière du vélo rend insensible au froid, à la pluie, aux intempéries et même à la chaleur.
10. Mauvais pour la croissance économique. La pratique du vélo diminue les profits des compagnies pétrolières et des constructeurs de voitures tout en limitant la pollution et les problèmes de santé publique. Or, la pollution (et la dépollution qui va avec) et les problèmes de santé publique (dont les accidents de la route) participent à la croissance du PIB.

المراسلة رقم 006-15 الصادرة بتاريخ 26 يناير 2015 بشأن تكوين الأساتذة المتدربين في الإسعافات الأولية و الإنقاذ

الإسعافات الأولية و الإنقاذ 
المراسلة رقم 006-15 الصادرة بتاريخ 26 يناير 2015 بشأن تكوين الأساتذة المتدربين في الإسعافات الأولية و الإنقاذ
المراسلة رقم 006-15 الصادرة بتاريخ 26 يناير 2015 بشأن تكوين الأساتذة المتدربين في الإسعافات الأولية و الإنقاذ...تحميل http://www.men.gov.ma/SiteCollection...5006150126.pd
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Programmation de l'entrainement sur 10 km, semi marathon ou marathon.

Programmation de l'entrainement

Afin de permettre aux coureurs de mieux comprendre l'organisation et le contenu des séances n course à pied, voici les principes de base à respecter lors de l'élaboration des plans d'entraînement 10 km, semi marathon et marathon.






entrainement course à piedProgramme annuel

Principes à respecter pour une programmation annuelle réussie sur 10 km, semi marathon ou marathon.
Une programmation adaptée, construite et réfléchie est nécessaire pour espérer arriver le jour de l’épreuve au meilleur de sa forme et atteindre l’objectif fixé.

La programmation annuelle a pour but de fixer les objectifs principaux de la saison et de déterminer la durée, ainsi que le nombre de programmes d’entraînement et de périodes de récupération. Ce cadre obtenu reste théorique. Après chaque fin de programme, les objectifs peuvent être réajustés ou redéfinis.
Souvent, le coureur à pied raisonne plus en terme de programmes et de périodes de récupération se succédant les uns aux autres, plutôt qu’en terme d’année entière. La notion ‘’annuelle’’ réside essentiellement dans la nécessité de programmer une fois par an, une période de repos complet (sans course à pied) de 4 à 5 semaines.
Nombre de programmes par an

Sur l’ensemble d’une année, un coureur de semi marathon et de marathon peut envisager deux périodes de grande forme, à deux périodes différents de l’année (par exemple un au printemps et un à l’automne). Dans le cadre d’une planification bien maîtrisée, un coureur de 10kms peut envisager 3 pics de forme. (Par exemple un début du printemps, un en début d’été et l’autre fin de l’automne)
Par année, le coureur peut envisager d’atteindre 2 ou 3 ‘’pics’’ de grande forme. Tout l’enjeu de la programmation est de faire coïncider ces pics avec les dates des épreuves principales visées par le coureur.
Chaque recherche de pic de forme fait l’objet d’un programme d’entraînement complet. Pour tenter d’atteindre ces pics de forme, le coureur suit donc 2 ou 3 programmes complets d’entraînement par année. Mais dans aucun cas, le coureur ne doit enchaîner deux programmes d’entraînement sans observer une période de repos.
La durée des plans d'entrainement
Elle varie en fonction du:
- nombre d’objectifs majeurs fixés par saison.
- nombre de semaines séparant le coureur de son objectif.
- type d’épreuve.

12 semaines par programme semblent être la durée minimum permettant au coureur de solliciter l’ensemble de ses qualités et espérer atteindre l’objectif fixé. Des préparations plus longues (20 à 24 semaines) peuvent être programmées pour les coureurs de semi marathons, de marathons et de 100kms
Durant la préparation, le coureur a tout intérêt de participer à des courses dites préparatoires. L’objectif est:
- de se rassurer, en vérifiant que l’entraînement est efficace et/ou de le réajuster si nécessaire.
- d’éviter qu’une certaine lassitude s’installe au fil des semaines (surtout quand l’objectif majeur est encore loin)
- de garder le contact avec la compétition.

Exemples de programmation annuelle possible

A - Coureur de 10 km ou semi marathon envisageant 3 objectifs majeurs

CoupurePlan 1RécupPlan 2RécupPlan 2
Nombre semaines414214214

B - Marathonien ou coureur de 100 km envisageant 2 objectifs majeurs

Coupure Plan 1RécupérationPlan 2
Nombre semaines522322
Nb: les périodes de régénération sont souvent directement intégrées dans les plans d'entrainement

Le contenu d’un programme

Un programme d’entraînement se compose de 3 phases de travail (appelées cycles de travail) suivies d’une phase de compétition. Ces cycles successifs sont indispensables pour développer l’ensemble des qualités du coureur et permettre à l’organisme de s’adapter et de progresser.
L’ordre n’est en aucun cas interchangeable:
- Le travail d’adaptation ou la phase de régénération
- Le travail de développement général
- Le travail spécifique
- La période de relâchement
- La compétition

Les périodes de récupération

L’objectif principal est de permettre à l’organisme de récupérer des efforts consentis durant plusieurs semaines, mais aussi de décompresser psychologiquement afin d’aborder avec motivation et envie le programme suivant. La période de repos est aussi un moment propice pour faire un bilan approfondi des semaines écoulées et réajuster son entraînement en fonction des enseignements retirés. Chaque année, une coupure annuelle de 4 à 5 semaines est à programmer. Durant cette coupure, le coureur doit cesser toute activité en course à pied.